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Restaurant oxymorique
03.11.07 Le nom d’un restaurant peut aussi être un oxymore.
Ainsi trouve-t-on à PUERTO MADERO, le quartier des docks, récemment rénovés, à Buenos Aires, un étonnant restaurant asiatique qui s’appelle, en toute simplicité, ASIA DE CUBA.
Belle surprise oxymorique ! Quand à la cuisine, nous n’avons aucune information …
Photo prise à Buenos Aires le 02.11.07
P
Oxymores 461 à 465
461. Une dictature participative
462. Une pudeur sexy
463. Une reddition conquérante
464. Une toxicité savoureuse
465. Un iceberg volcanique
Pour Le Robert Dictionnaire Historique de la langue française, "un oxymoron désigne une alliance de deux mots incompatibles à des fins stylistiques. On emploie aussi la forme française oxymore" (Edition 1992, Tome II, page 1398).
Découvrez chaque dimanche cinq oxymores de Mark Raison.
Oxymore impérial (suite)
L’ancien Premier Ministre Philippe de Villepin s’est inspiré de Gérard de Nerval (1808-1855) pour le titre de son dernier livre consacré à Napoléon Bonaparte : « Le soleil noir de la puissance ».
Nerval, poète et grand voyageur, qui se suicida en 1855, avait écrit « le soleil noir de la mélancolie ».
Tendance 73 – Le Décadent Chic
Incroyable décor que « EL BISTRO » imaginé par Philippe Starck et Alan Faena dans l’étonnant complexe du FAENA HOTEL + UNIVERSE !
Dans le nouveau quartier à la mode de la capitale argentine, PUERTO MADERO, ce restaurant unique offre une expérience gastronomique sophistiquée d’une créativité débordante.
Mais que dire du décor fantasmagorique ? Dans un environnement blanc de chez blanc, quatorze licornes blanches portant d’intrigants colliers rouges trônent dans une salle délicieusement décadente. Des touches dorées font office d’unique couleur. Un endroit onirique, inspirant, magique à visiter ! Un temple du « Décadent Chic ». Ou du "Chic Décadent" ?
Promeneur de chiens
Voilà un métier bien insolite ! A Buenos Aires, les "Pasaperros", ou promeneurs de chiens, courent les rues. Emmenant avec eux une meute de chiens plus ou moins impressionnante, ils aèrent les toutous dans les parcs et sur les grandes avenues du « Paris de l’Amérique du Sud ».
Un grand mystère entoure cette profession : comment font les promeneurs de chiens pour que ces meutes les suivent de manière disciplinée et silencieuse, quasi stoïque ?
Photo prise à Buenos Aires le 02.11.07 Avenidad del Libertador dans le quatier de la Ricoleta.